Coyote compte un million d’utilisateurs belges payants, soit près de 20 % des automobilistes. Notre pays est un marché juteux pour l’aide communautaire avertisseur de radar. Les messages d’avertissements envoyés par les abonnés concernent à 93 % les infos trafic (ralentissements, rétrécissements, accidents, véhicules arrêtés, objets sur la voie, etc.). Les alertes de contrôles de vitesse mobiles sont finalement marginaux même si certains utilisateurs se sont d’abord abonnés pour cet usage.
Partenariats
En Belgique, Coyote a la particularité de collaborer avec de nombreuses autorités du pays. Ainsi, la police fédérale l’utilise pour avertir de situations particulières. En 3 ans, Polfed a déjà envoyé 700 messages sur les boîtiers et applications. Coyote travaille aussi avec le centre Perex gérant la circulation routière en Wallonie, envoyant ainsi 10 millions de messages d’info trafic par mois. Il en va de même avec la RTBF et la ville de Gand. Enfin, l’IBSR rappelle sur l’écran qu’il faut rester Bob au volant.
Limitations de vitesse
Le but premier du Coyote pour 84 % des utilisateurs est de se libérer du doute sur la limitation de vitesse en vigueur. Lesquels peuvent d’ailleurs la corriger en cas de chantier ou de changement de signalisation. Évidemment, le petit bip bip sert aussi à connaître la position des radars fixes, radars tronçons et des contrôles de vitesse mobiles. Depuis peu, en Wallonie, Coyote signale des zones à risques accidentogènes.
En Europe
Coyote est autorisé en Belgique ainsi que dans plusieurs pays européens comme le Luxembourg, les Pays-Bas, l’Italie, l’Espagne, la Pologne, la France et l’Allemagne. Pour ces deux dernières, le système s’adapte à la législation en ne signalant pas de « radar » mais des « zones à risque ». Par contre, le Coyote reste interdit en Suisse et en Autriche.
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