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Mobilité / Santé et sécurité au volant

Beaucoup d'accidents sont causés par la fatigue ou la conduite sous l'influence de l'alcool, de drogues et/ou des médicaments. Des éléments qui ne font pas bon ménage avec la voiture.

Le taux maximal d'alcool dans le sang autorisé par la loi chez nous est de 0,5 pour mille. Dès cette concentration, le risque moyen d'accident mortel est multiplié par 2,5. À 0,8 pour mille, il est 4,5 fois plus élevé et à 1,5 pour mille 16 (seize!) fois plus important. Difficile de dire quelle est la quantité d'alcool que vous pouvez boire avant d'atteindre la limite fatidique. Cela varie d'une personne à l'autre et dépend de plusieurs paramètres comme votre masse corporelle, la vitesse à laquelle vous buvez, le type de boisson, etc. L'alcool dans le sang est éliminé naturellement à une vitesse de 0,15 pour mille par heure. Reste que si vous devez conduire, le plus sûr est de ne consommer aucune boisson alcoolisée. Si vous voyagez à l'étranger, les taux autorisés sont différents.

Alcool, drogues ou médicaments

En Belgique, l'alcool est impliqué dans 1 accident sur 4. La conduite sous son influence occasionne chez nous 4.000 accidents par an et 1.000 morts et blessés graves. Une petite quantité d'alcool suffit pour diminuer notablement les facultés d'alerte d'un conducteur tout en le désinhibant, augmentant ainsi la prise de risque. De récentes enquêtes ont par ailleurs administré la preuve que la conduite sous l'influence de médicaments ou de drogues est synonyme de temps de réaction augmenté et de réflexes plus lents. Cela est dû au fait que ces substances exercent un effet calmant sur le système nerveux central. Pour les médicaments, lisez toujours attentivement la notice qui les accompagne. Ainsi, vous apprendrez qu'un simple sirop pour la toux peut avoir un effet somnolent.

Lorsque l'on conduit sous influence, on est moins attentif. On ne remarque pas les piétons, les cyclistes et les autres conducteurs, ainsi que les panneaux de signalisation, qu'avec un temps de retard, voire pas du tout. D'un autre côté, la profondeur du champ de vision diminue et on estime les distances de manière erronée : tout semble beaucoup plus loin qu'en réalité ! La vision souffre de ce que l'on appelle l'«effet tunnel» : le champ de vision se rétrécit, ce qui fait que l'on a tendance à ne percevoir que ce qui se passe juste sous son nez. Un conducteur sous influence est moins apte à faire plusieurs choses en même temps. Son temps de réaction est plus important et ses réflexes sont moins bons. Et pour ne rien arranger, celui qui conduit sous influence aura tendance à se sentir plus sûr de lui, donc à prendre des risques plus importants.

Yeux fatigués

Prendre le volant lorsqu'on est fatigué est tout sauf une bonne idée. Quelque 7% des accidents mortels dans notre pays sont causés par la fatigue. Elle se reconnaît notamment aux symptômes suivants : on bâille fréquemment et on a du mal à rester concentré, voire à garder les yeux ouverts. Ils s'accompagnent généralement des conséquences suivantes : on éprouve plus de peine à rouler au milieu de sa bande de circulation, on a tendance à «mordre» sur les lignes blanches, on ne décèle que (trop) tardivement la présence des conducteurs venant en sens inverse et de la signalisation routière, et les réactions sont plus lentes. De plus, on se tortille sur son siège pour tenter de rester éveillé, le regard se fait moins mobile. Lorsque ces signes apparaissent, mieux vaut faire une pause ou céder le volant à quelqu'un d'autre.

Quand on conduit, il faut avoir une bonne vue. C'est du reste une obligation prévue par la loi. De nombreux conducteurs portent des lunettes ou des lentilles, même quand ils ne conduisent pas. Si vous en portez, ayez toujours une paire de lunettes de réserve dans la boîte à gants. Dans certains pays, comme la Suisse et l'Espagne, c'est d'ailleurs obligatoire. Un conducteur normal (pas un chauffeur professionnel) doit, avec ou sans lunettes, avoir une vision de 5 sur 10. S'il est borgne ou n'utilise qu'un oeil, la vision doit être de 6 sur 10. Dans l'obscurité, votre vision doit atteindre les 2 sur 10 (ici aussi, avec ou sans lunettes). Il faut encore que la largeur de votre champ de vision atteigne au moins 120°. Pour savoir où vous en êtes, le mieux est de faire tester votre vue chez un opticien-optométriste. Enfin, il est indispensable d'avoir une paire de lunettes de soleil, ou une applique pour ses lunettes de vision, en voiture. Se protéger de l'éblouissement est un gage de sécurité supplémentaire.

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