Sakura, c’est le nom du cerisier du Japon et de ses fleurs. C’est aussi le nom du nouveau modèle électrique de Nissan. Toutefois, cette voiture a peu de chance d’arriver en Europe. Elle entre dans le segment typiquement nippon des kei cars (Keijidōsha), ces citadines cubiques très appréciées là-bas. La Nissan Sakura mesure 3,39 m de long pour 1,65 m de haut et 1,47 m de large. L’empattement est de 2,49 m pour maximiser l’espace à bord.
180 km
La motorisation électrique est limitée à 47 kW (64 ch), avec un couple de 195 Nm. C’est suffisant pour rouler à 130 km/h. Sa batterie, digne d’une hybride rechargeable, affiche 20 kWh. Dès lors, l’autonomie est limitée dans le meilleur des cas à 180 km. Toutefois, la vocation des Keijidōsha étant les trajets urbains, cela devrait être suffisant. D’autant qu’elle peut se recharger en 40 minutes sur une borne rapide et 8 heures maximum sur une prise murale. Le conducteur peut opter pour trois modes de conduite : Eco, Standard et Sport. La Sakura offre également la conduite à une pédale.
Colorée
En bonne 軽自動車 (kei-car), elle est disponible avec une belle palette de couleurs : 15 au total. Dont un rose qui rappelle les fameux Sakura. À bord, le numérique est la norme avec un combiné digital et un écran tactile de neuf pouces avec services connectés Nissan. Elle peut également être équipée de la conduite semi-autonome ProPilot et du stationnement automatique ProPilot Park. Le prix d’entrée de gamme au Japon est de 1,78 million de yens (13.150 €), mais il peut atteindre 2,94 millions de yens (21.700 €) avec une finition haut de gamme.
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