Audi A3 Cabriolet 1.8 TFSI Ambition
En bref
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Tenue de route
La largeur des voies limite la tendance au roulis sans réglage trop ferme de la suspension. La 308 CC enroule les virages avec agilité. En cela, elle est aidée par une direction relativement directe et une assistance bien dosée. Le moteur 1.6 T est extrêmement souple et réagit dès les plus bas régimes. Son poids, l’étagement trop long de la boîte et l’imprécision du sélecteur l’empêchent de prétendre au titre de véritable sportive.
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Sécurité
La 1.6 T n’est disponible qu’en exécution Féline haut de gamme comptant d’office l’ESP. La caisse, rigide, est conçue pour obtenir 5 étoiles aux tests EuroNCAP. Epinglons une première avec l’airbag latéral placé dans l’appuie-tête du siège avant. La baie de pare-brise renforcée et les arceaux extractibles à l’arrière assurent une protection en cas de tonneau éventuel. L’éclairage des virages est en option.
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Confort
La suspension offre un compromis excellent entre confort d’amortissement et dynamisme. Les bruits de vent sont particulièrement bien contenus. Cela vaut aussi pour les turbulences en conduite découverte. La 1.6 T est équipée de série de l’Airwave, qui souffle de l’air chaud dans la nuque des passagers avant. La banquette arrière est préformée pour accueillir deux personnes. L’espace aux jambes à l’arrière est relativement limité.
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Sens pratique
L’intérieur de la 308 CC est particulièrement soigné, mais il manque d’espaces de rangement et notamment de porte-gobelets. Les grandes portières compliquent l’accès à bord entre des voitures en stationnement et ne facilitent pas la préhension des ceintures avant. Toit fermé, le volume du coffre est correct. Toit rabattu, le coffre perd beaucoup de volume et est surtout difficile d’accès.
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Budget
La 1.6 T n’existe que dans la version la plus chère, et donc à un prix de base élevé, mais offre en échange un équipement remarquable. La consommation est acceptable pour autant que l’on n’abuse pas de la ville ou de la cavalerie. Peugeot promet que le mécanisme de toit a gagné en fiabilité. Un entretien n’est nécessaire qu’après 30.000 km ou 2 ans.
Conclusion / Peugeot 308 CC 1.6 THP
coupé-cabriolet de deuxième génération. C’est assurément un avantage, car Peugeot y a apporté pas mal d’améliorations sur la base de ses expériences avec feue la 307 CC. La 308 CC revendique ainsi une carrosserie exceptionnellement rigide, un mécanisme de toit amélioré, des airbags latéraux de tête à l’avant et des petits plus comme le chauffe-nuque Airwave de série sur la 1.6 T. Dommage cependant que ce moteur ne soit disponible qu’en exécution Féline – la plus chère –, ce qui envoie la 308 CC piétiner les plates-bandes d’une Volvo C70 par exemple. La 308 CC est une voiture agréable par son compromis remarquable entre confort et dynamique de conduite. Dans la 1.6 T, cet exploit est encore renforcé par un moteur souple. Les performances pâtissent en revanche de la prise de poids de la CC par rapport à une 308 «normale».
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