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Cupra est la marque sœur de Seat, axée sur la sportivité. Ce break s’adresse donc aux familles athlétiques. Tout commence par un style extérieur un peu bodybuildé, avec aussi des jantes spécifiques. À bord, on note des sièges avant sport, qui soutiennent bien le corps. Mais cette Cupra des familles ne perd rien en fonctionnalité par rapport au break Seat Leon dont elle dérive. On retrouve un grand coffre, mais qui n’est cependant pas toujours facile à (dé)charger à cause du pare-chocs arrière saillant. Et à l’avant, l’ergonomie est discutable, Seat ayant décidé de passer par le pavé tactile plutôt que par de classiques boutons pour certaines commandes.
Ce break repose sur une suspension durcie et rabaissée, dotée d’un amortissement piloté. La tenue de route est saine, précise et efficace. Les moteurs sont identiques à ceux de la version cinq portes, à la différence que le moteur à essence le plus puissant développe ici 310 ch au lieu de 300. Au-delà de cette légère augmentation de la cavalerie, la Cupra Leon Break la plus puissante reçoit aussi une transmission intégrale. Toutes les autres variantes s’en tiennent aux seules roues avant motrices, de la 1.5 TSI (150 ch) jusqu’au deux hybrides plug-in (de 204 et 245 ch), fiscalement séduisantes pour les entreprises. L’inconvénient, c’est que leur batterie rogne le coffre de 150 litres...
Proposition originale dans son segment, ce break d’allure sportive cible les familles actives. Par rapport à la Seat Leon Break dont elle dérive, cette Cupra ajoute une dose de dynamisme sans rien perdre de sa fonctionnalité. Sauf pour les hybrides rechargeables, mais ces versions compensent alors ce désagrément par un avantage fiscal.