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Cette 8e génération de la SL remplace à la fois sa devancière, mais aussi la Classe S Cabrio. Le modèle est construit sur une plateforme qui mélange l’aluminium, l’acier, le magnésium et les fibres composites. Cette SL opte pour un toit en toile, plus léger de 21 kg que l’ancien couvre-chef en acier. Cette capote triple couche se plie ou se déplie en 15 secondes, y compris en roulant, jusqu’à 60 km/h. Un chauffage de nuque est intégré aux sièges avant et, surprise, cette dernière génération de SL gagne deux (petites…) places arrière. Mais personne n’y sera bien installé à cause d’assises courtes et d’un dossier trop droit. Un mauvais point aussi pour le coupe-vent, compliqué à installer et d’aspect vraiment cheap. On se console avec un habitacle moderne, chic et bien fini.
Développée par le département sportif AMG, cette nouvelle SL se veut plus dynamique. Certes, elle pèse près de 2 tonnes, mais il est vrai que le modèle est réellement sportif, avec un train avant hyper tranchant. Par contre, on ne retrouve plus ce toucher de route ouaté et confortable des anciennes SL. Sous le capot, on a le choix entre le petit 2.0 turbo à 4 cylindres de 381 ch (propulsion) ou le 4.0 V8 bi-turbo, fort de 476 ch (55 4MATIC+) ou 585 ch (63 4MATIC+) et associé d’office à la transmission intégrale, une première pour une SL. Les V8 disposent aussi de roues arrière directrices.
Désormais construite sous le label AMG, la SL n’est plus la voiture de prestige du papy nanti. Le sel de cette voiture est désormais dans la précision de conduite, l’efficacité dynamique et la performance, mais avec toujours une petite touche de confort en plus et désormais 2 (mini-)places arrière.