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L’Alhambra est le frère jumeau du Sharan de Volkswagen. Ces deux grands monospaces font de la résistance: ils ont été lancés dans le courant de l’année 2010 et restylés en 2015. Imposant et bien fini, l’Alhambra se distingue par ses portes arrière coulissantes (pouvant être motorisées), qui lui offrent une excellente accessibilité. L’habitabilité est très correcte, y compris au 3e rang, où 2 adultes peuvent prendre place. Les sièges arrière individuels, inclinables et coulissants, s’escamotent dans le plancher.
Posé sur un châssis bien charpenté, l’Alhambra présente un comportement rigoureux, mais sa direction manque légèrement de centrage et les montants de son pare-brise sont épais. La palette de motorisations s’est de plus en plus réduite avec le temps, à tel point qu’aujourd’hui, il ne reste plus que le 1.4 TSI de 150 ch qui reste disponible. Mais le client a toujours le choix entre une boîte manuelle 6 rapports ou la DSG. Ce moteur se débrouille bien dans le grand Alhambra, même avec 7 passagers et leurs bagages, à condition d’accepter une conduite sereine. Ce moteur à essence consomme bien sûr davantage que les anciens Diesel TDI, mais il sait se montrer relativement sobre en conduite calme.
La Seat Alhambra est un grand monospace très fonctionnel: ses portes arrière coulissantes se révèlent très pratiques au quotidien, de même que ses sièges arrière escamotables dans le plancher. Et puis, l’Alhambra reste moins cher que le Sharan… Mais comme chez ce dernier, les Diesel ont disparu.