BMW a donc décidé de se jeter dans ce que l’on appelle communément aujourd’hui « la révolution numérique ». Pour ce faire, BMW voit grand. À tel point qu’il a d’ailleurs assigné à ce poste l’ancien dirigeant de Google Jens Monsees, désormais vice-président de la stratégie digitale.
Révolution ?
Jens Monsees – qui a déjà travaillé chez BMW avant de travailler chez Google – devra opérer une transformation radicale chez BMW. Une idée qui implique une réorganisation de la conception, de la production, de l’ingénierie, mais aussi des ventes et des opérations du « back-office ». Toutes ces évolutions seront censées améliorer la compétitivité de la marque face à ses concurrents qui ont déjà commencé leur révolution dans les processus numériques.
Liberté et domaines d’action
Certaines sources évoquent déjà le fait que lors des premières réunions, Jens Monsees semble offrir une grande liberté d’action à ses collaborateurs. Une source a indiqué « jusqu'à aujourd’hui, les opérations ont été fortement tirées par l'ingénierie. Cependant, il y a eu une nette évolution de l'entreprise vers l’informatisation. Et cela va s’accélérer avec la nomination de Jens Monsees ». Parmi les domaines qui vont être refondus, il faut citer la vente sur internet, mais aussi les techniques d’impression 3D « nous voulons explorer les possibilités de l’impression 3D à grande échelle » a indiqué une source proche de Jens Monsees.
Comme la concurrence
Ce nouveau mouvement imprimé par BMW pour renforcer ses opérations numériques emboîte le pas à une action similaire menée chez Volkswagen qui a d’ailleurs nommé l'ancien expert en informatique de Mercedes-Benz et Apple, Johann Jungwirth. Visiblement, tout le monde suit la même route…
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