Une vingtaine d’associations de l’industrie automobile, dont l’ACEA et celle des sous-traitants, la CLEPA, ont indiqué dans un communiqué qu’un Brexit sans accord serait un « séisme pour les conditions commerciales ». Le principal problème viendrait des frais de douane. Dans le modèle du flux tendu utilisé par l’industrie automobile, l’approvisionnement dépasse les frontières nationales. Dès lors, un « no deal » devrait être synonyme de taxes supplémentaires à hauteur de quelque 5,7 milliards d’euros. Pour limiter son impact au sein de l’Union européenne, la solution est de localiser la production et la sous-traitance hors du Royaume-Uni. Ainsi, plusieurs constructeurs comme BMW, Nissan et PSA ont déjà réduit les investissements sur leurs sites britanniques dans l’attente de l’évolution des négociations sur le Brexit. Ils pourraient même ralentir, voire interrompre, la production outre-Manche
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