Depuis 2015, le Dieselgate sévit. Il a déjà coûté des milliards d’euros à Volkswagen tant en réparation qu’en indemnités (pas chez nous malheureusement pour les indemnités), mais les choses ne semblent pas vraiment vouloir s’apaiser.
Nouvelles manipulations ?
L’autorité allemande qui suit le dossier depuis le début, le KBA, pointe une nouvelle fois Volkswagen du doigt aujourd’hui. Ce qui semble assez inconcevable après les campagnes de rappel menées par le constructeur. Mais selon les informateurs – et les informaticiens surtout du KBA –, un logiciel monté sur un moteur autoriserait à nouveau des seuils de dépassements intolérables des émissions. Selon les explications très sommaires à l’heure actuelle, la logiciel autoriserait que la filtration des gaz d’échappement soit dans certaines conditions inversée, ce qui évidemment augmenterait sensiblement la pollution.
À l’étude
Volkswagen a pris les choses très au sérieux et affirme se pencher sur l’affaire. Il serait étonnant que le constructeur ne soit pas arrivé à « nettoyer » ce courant de pensée de frauduleux au sein de ses équipes. Et pourtant, aujourd’hui la nouvelle constatation du KBA est amère : le logiciel du 1.2 TDI Bluemotion de la Polo ne semble pas tourner rond. Mi-janvier Volkswagen et les autorités se mettront une nouvelle fois autour de la table pour débattre d’un problème qui manifestement semble presque insoluble même après 3 ans d’action.
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