Comme d’autres chefs d’État avant lui, Recep Erdoğan, le président turc, aimerait bien que son pays dispose - un jour ou l’autre – de son constructeur national. Aujourd’hui, l’homme fort de la Turquie estime que ce rêve peut devenir réalité. Comment ? En mettant en place un consortium regroupant 5 grandes entreprises turques dont les activités de certaines sont déjà liées au monde de l’automobile. Ces entreprises sont Anadolu Group (partenaire d’Isuzu), BMC (producteur de camions), Kıraça Holding (partenaire de Hyundai), Turkcell (société de télécommunications) et Zorlu Holding (électronique et énergie).
Véhicule propre
Concernant ce premier modèle 100 % turc, on ne sait pas encore grand chose. Cela dit, le président turc aimerait que ces 5 entreprises unissent leurs forces pour réfléchir au type de véhicule, à son positionnement, à son prix, à ses dimensions, à ses performances et à son type de propulsion. D’après plusieurs sources fiables, il semble que l’idée d’un véhicule hybride ou électrique soit clairement d’actualité. Recep Erdoğan, enfin, aimerait qu’un premier prototype soit présenté en 2019 et que la version finale de celui-ci soit commercialisée en 2021.
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