« L’usine General Motors Venezolana a été saisie subitement par les autorités publiques », ce qui empêche « la marche normale » de l’infrastructure de Valencia (nord du Venezuela). Le constructeur américain indique aussi que des voitures ont été « prises illégalement », ainsi que d’autres actifs, sur le site de Valencia. GM estime que cette confiscation provoque des « dommages irréparables » tant d’un point de vue matériel qu’humain pour ses 2678 membres du personnel ainsi que pour ses 79 fournisseurs et revendeurs. Cette nationalisation de force de l’usine intervient dans une situation politique extrêmement tendue suite à la crise économique dans le pays. Ainsi, le Président Nicolas Maduro est fortement critiqué dans la rue. En réponse, les autorités utilisent la force face aux manifestants mobilisés depuis 3 semaines. 8 personnes ont été tuées et plus de 500 arrêtées.
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