Selon le principe de l’accumulation d’inculpations pour prolonger la détention en garde à vue, la justice japonaise vient d’inculper Carlos Ghosn de deux nouveaux motifs : abus de confiance et revenus minorés dans le cadre de rapports boursiers entre 2015 et 2018. Ses avocats devraient toutefois redéposer une demande de libération sous caution. Par ailleurs, le constructeur Nissan a également été mis en examen pour dissimulation de revenus. Renault, de son côté, a indiqué n’avoir trouvé aucune trace de fraude en 2017 et 2018 dans le chef de Carlos Ghosn. Celui-ci a pu se défendre publiquement pour la première fois mardi dernier (8 janvier). Enfin, il semblerait qu’il ne soit plus en mesure de poursuivre les auditions en raison de son état de santé. Son médecin a prescrit du repos.
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