La quatrième génération de Prius, déjà en vente au Japon, représentait à la base un volume estimé de 300.000 à 400.000 unités pour sa première année de commercialisation, comme c’était le cas de la génération sortante. Aujourd’hui, les prévisionnistes tablent plutôt sur une marge inférieure, comprise entre 300.000 et 350.000 voitures. Ce qui ne change rien – au contraire - aux ambitions mondiales, car comme prévu la Prius 4 sera bel et bien lancée dans la première moitié de 2016 en Europe et aux Etats-Unis.
Essence moins chère !
L’explication est des plus rationnelles: le prix du baril de pétrole ne cessant de tomber depuis la mi-2014, les répercussions à la pompe rassurent les automobilistes. En outre, si l’on prend en compte, par exemple, le marché américain, leur industrie produit des véhicules, et notamment des pickups et SUV, nettement plus sobres qu’auparavant. Du coup, le besoin de véhicule hybrides sensés permettre de faire des économies sur ce plan, accompagne cette baisse. Cette tendance est accentuée par le prix de la nouvelle Prius, plus chère de 20% par rapport au modèle qu’elle remplace. Ce qui n’enlève rien aux qualités du modèle, promis pour être plus sobre de 20% également, revendiquant un niveau de CO2 de seulement 70 g/km. Situation moins confortable mais pas dramatique pour autant pour Toyota (Lexus compris) qui reste, de loin, le leader du marché des hybrides essence/électrique, en particulier avec la Prius.
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