S’il est cohérent dans ses choix, Donald Trump ne devrait pas être un grand défenseur de la voiture autonome… Lui qui fait de l’emploi sur le sol américain son principal cheval de bataille devrait voir d’un mauvais œil la voiture sans chauffeur et, surtout, les véhicules de livraison sans conducteur.
Danger pour l’emploi peu qualifié
Si l’arrivée de la voiture autonome devrait créer de nouveaux emplois pour les ingénieurs, les postes moins qualifiés pourraient par contre en pâtir, en particulier les camionneurs et chauffeurs de taxi. Or, rien qu’aux Etats-Unis, 4 millions de personnes exercent ces métiers. Et, en octobre dernier, ces professionnels de la route pouvaient déjà craindre pour leur emploi en voyant une filiale d’Uber réaliser la première livraison d’un camion sans chauffeur. Donald Trump, qui a annoncé lors de son discours de candidature qu'il serait « le plus grand président de l'emploi que Dieu ait jamais créé », risque donc de bientôt pointer la voiture autonome dans son viseur…
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